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Bulletin l'Articulé | Société Dentaire du Québec

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Articulé de novembre 2016

LA RÉSORPTION

Résorptions : « on va laisser à surveiller » bénéfique ou nuisible ?

Par Dre Marie Gosselin et Dr Christian Morasse, endodontistes
Clinique d’Endodontie de la Capitale

LA RÉSORPTION.Cette pathologie dentaire est difficile à diagnostiquer, l’évolution difficile à prévoir et le traitement peut s’avérer difficile à réaliser.

Il existe plusieurs types de résorptions et plusieurs façons de les classifier. Les deux grandes catégories sont la résorption interne et la résorption externe. Par contre, plusieurs types de résorption radiculaire externe sont possibles, soit la résorption de surface, la résorption de remplacement, la résorption radiculaire inflammatoire et la résorption radiculaire cervicale invasive. La résorption radiculaire au niveau de la dentition permanente est un évènement pathologique. Sil elle est laissée sans traitement, cela peut résulter en la perte de la dent.

Invariablement, la résorption d’une dent est le résultat d’une blessure ou d’une irritation au niveau du ligament parodontal ou de la pulpe dentaire. Elle peut être le résultat de conditions inflammatoires, d’une stimulation mécanique (pression) ou d’un processus néoplasique. En général, la couche de cellules superficielles protectrices sur la surface interne ou externe de la racine est endommagée et une résorption inflammatoire ou de remplacement peut alors affecter n’importe quelle partie de la racine

 

Téléchargez l’Articulé du mois de novembre pour lire la suite.

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